• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

    Les chats n’aiment pas que l’on les plonge dans un bain. Alors faite que ce moment reste assez acceptable. Faite déjà couler l’eau dans la baignoire, de l’eau ni trop chaude, ni trop froide. Préparer le shampoing (antiparasitaire de préférence), et une serviette chaude. Plongez votre chat dans l’eau. Tenez le fermement d’une main, sans non plus lui faire mal. Et frotter le avec votre autre main. Ensuite, au moment de rincer votre chat, faite bien attention car c’est généralement ce que n’aiment pas les chat : la pomme de douche. Ce la fait du bruit et c’est assez puissant. Donc veuillez à être rapide. Retirer lui bien tout le shampoing. Ensuite sortez le vite fait de l’eau afin qu’il n’attrape pas froid. Séchez le et si il résiste, laisser le vaquer dans la salle de bain afin qu’il se sèche lui-même. Bon courage !

     

    <o:p></o:p>

    </o:p>

    votre commentaire
  • Si votre chat se comporte mal en votre présence, créer un effet de surprise, sans que le chat vous voie :<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

                -Faite à distance pour qu’il vous entende.<o:p></o:p>

    -Même punition pour une même faute, avec le même ton de voie et répétée à chaque récidive.<o:p></o:p>

                -Faite au moment même de la faute et non quelques instant après.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Quelques trucs peuvent être utilisés<o:p></o:p>

    -Le bruit, jetez dans sa direction des pièces ou un trousseau de clé. Surpris par ce « châtiment venu du ciel », il stoppera net sa bêtise et s’enfuira.<o:p></o:p>

    -Le jet d’eau, projetez avec un vaporisateur un peu d’eau sur le chat fautif. Il ne fera pas le lien entre cette punition et son maître. Et il sera vite découragé de recommencer sa bêtise.<o:p></o:p>


    votre commentaire
  • Avec l’Homme :<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Le chat adore la compagnie à condition qu’elle ne lui soit pas imposée. En fait, bien que domestiqué, il ne se soumet jamais totalement à la volonté de l’Homme. Il déteste être taquiné ou être considéré comme un jouet. Donc il se défend. C’est lui qui vient sur vos genoux, il ne supporte pas d’être retenu. Heureux, il retrouvera ses gestes d’infantilisme (ronronnement, succion ou léchage).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Avec les autres animaux :<o:p></o:p>

    Le chat est un animal solitaire. Il a son propre territoire auquel il a libre accès. Il occupe cet espace qu’il considère comme le sien et qu’il est prêt à défendre. Dans la maison, il signale sa place préférée en l’imprégnant de son odeur émise par ses glandes pariétales, en frottant ses joues contre les objets. Les chats amoureux sont des bagarreurs incorrigibles. Les blessures peuvent être graves : principalement si le chat est touché aux organes génitaux et à la face .Les abcès sont fréquents. Généralement, les chat n’est pas agressif ;Il se contente d’intimider l’intrus. Il se

    grossit en hérissant le poil, courbe le dos, et dresse la queue. Les oreilles sont rabattues, les yeux dilatés, il pousse des grognements suivis souvent de crachements. Souvent l’un des deux abandonne et prend la fuite. <o:p></o:p>

    Chat et chien peuvent cohabiter s’ils sont élevés sous le même toit et si la socialisation nécessaire à chaque espèce est correctement faite. A l’âge de 4/8 mois, le chat vit une période de socialisation critique. S’il connaît des chiens pendant cette période, et que la relation entre eux deux se passe bien, le chat acceptera sans problème le chien. <o:p></o:p>


    1 commentaire
  • Il ne lui manque que la parole. Mais en a t-il vraiment besoin pour se faire comprendre ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    En effet, les chats disposent de plusieurs moyens pour communiquer. Le langage vocal du chat est plus riche qu’il n’y paraît. Plus d’une cinquantaine de miaulement différents peuvent être compris lorsqu’on observe bien notre chat. Un langage spécifique est réservé à la communication avec l’Homme. Quant aux relations entre chats, elles sont dominées par des miaulements marquant la parade nuptiale et cris d’intimidation suivis de grognement, sifflements, et crachement. Le tout associé à des mimiques gestuelles. <o:p></o:p>

    Le ronronnement apparaît tôt chez le petit en tétant sa mère (première semaine). Il est souvent compris comme une marque de satisfaction et de bonheur, cependant il peut être produit par un chat souffrant et angoissé. Le langage est un ensemble de postures qui fait intervenir tout le corps du chat : principalement la face (oreilles, yeux, gueule), mais aussi la queue (par mouvement et position), et le reste du corps (hérissement du poil). <o:p></o:p>

    Les odeurs sont un autre moyen de communication entre les chats. Le chat utilise des jets d’urine, des sécrétions des glandes anales et des glandes pariétales (situées sous les joues)<o:p></o:p>


    votre commentaire
  • Le chaton commence à jouer dés la troisième semaine. Les jeux évoluent au fur et à mesure qu’il grandit. Les séquences motrices utilisées dans le jeu sont reprises pour la chasse, la prédation et l’agression. Le chat joue seul et avec d’autres chats, parfois avec d’autres animaux et avec l’Hommes. C’est une façon de découvrir le monde qui l’entoure et de se socialiser. Privé de ses jeux, le chat peut devenir agressif et peureux. Les jeux avec l’Homme sont essentiels pour le bon développement de la socialité du chaton surtout entre 4 et 8 semaines. Le chat guette les jeux que vous lui proposez. Il fait rouler les boules, court après, saute dessus, les fait sauter en l’air, les tient entre ses pattes, les mord et recommence. Si le jeu est signe de bonne santé, il faudra prendre quelques précautions car certains jeux peuvent vite devenir dangereux : chat jouant sur le bord d’une fenêtre, chat jouant avec une aiguille de fil (avalant le fil puis l’aiguille), des fils électriques… Le chat chasse par instinct. Comme les félins sauvages, il le fait généralement à l’affût et non à la course. C’est ensuite à l’approche lente et le saut sur la proie. Avant de la tuer, il peut jouer un long moment avec sa proie. Tous ces gestes innés lui procurent une satisfaction intense. Il les réaccomplira sur un objet de substitution ou une proie imaginaire.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>


    votre commentaire