• Il n'existe pas encore de permis de monte donc pas de permis de conduire nécessaire pour chevaucher.

    Toutefois si une déchéance de permis de conduire a été prononcée la conduite d'un attelage ou d'une monture ou l'accompagnement en vue de l'apprentissage sont également interdits (Art 48 16/4/6Cool

    Place sur la voie publique
    "Les conducteurs d'animaux de trait non attelés, de charge ou de monture ou des bestiaux peuvent en dehors des agglomérations, utiliser les accotements de plain-pied situés à droite par rapport au sens de leur marche, à condition de ne pas mettre les autres usagers en danger" (Art 9.1.3) En outre sur la chaussée les cavaliers peuvent circuler à deux de front (Art 55.4)

    Attention
    Soit les 2 cavaliers sont sur la chaussée et ils peuvent circuler de front
    Soit 1 des cavaliers est sur l'accotement de' plain pied, et tous les cavaliers circulent en 1 file
    Le code n'autorise pas la circulation d'un cavalier sur la chaussée et d'un cavalier sur l'accotement de plain-pied.

    Les pistes cyclables et les trottoirs sont interdits aux cavaliers
    des règles particulières régissent les chemins réservés à la circulation des piétons, cyclistes et cavaliers

     

    www.equinfo.org/codes/crcaval.htm


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  • COMMENT APPROCHER UN CHEVAL AU PRE

    En fait, c'est plutôt lui qui doit vous approcher...

    Tendez la main vers lui, paume vers le ciel, plus bas que le niveau de son nez et appelez le d'une voix douce, vous pouvez aussi faire des claquements de langue qui attireront son attention sur vous... Une friandise peut aussi être très persuasive...

    Ne l'approchez pas "sournoisement" par l'arrière, vous risquez de l'effrayer, alors il partira en avant, non sans avoir lancé ses postérieurs derrière lui, ce qui risque d'être très dangereux pour vous...

    Approchez le par l'avant, sans jamais cesser de lui parler. dès que vous sentez un signe d'agitation ou d'inquétude (les oreilles se couchent, le cheval lève la tête de biais, vous voyez le blanc de ses yeux...) arrêtez vous de l'approcher et continuez a lui parler doucement... Vous pourrez recommencer à avancer dès que le cheval aura l'air plus confiant.

    Bien sûr, plus le cheval aura l'habitude de vous, plus ce sera facile de l'approcher...

    APPROCHER LE CHEVAL AU BOX

    Pensez a toujours annoncer votre arrivée de la voix et parlez lui avec une voix douce et monocorde pour le rassurer.

    Avant d'ouvrir le box, laissez le vous renifler la paume de la main: pour cela, tendez lui votre main paume vers le haut, plus bas que le niveau de son nez. Si vous voulez lui caresser la tête, venez toujours par le bas, car si vous mettez votre main au dessus de sa tête sans prévenir, cela risque de le surprendre, ou de le rendre nerveux...

    Ensuite, vous pouvez entrer...restez le plus possible en contact avec l'animal, de facon tactile mais aussi par la voix...cela le rassure, mais ça lui permet aussi de vous situer dans l'espace...

     

    Sachez que même un cheval que vous connaissez depuis des années et en qui vous avez une entière confiance peut avoir des réactions imprévisibles face à la peur...


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  • Les oiseaux ont besoin de vitamines, elles peuvent être apportées par l’alimentation (fruits, légumes, plantes, graines germées...) et/ou sous formes de gouttes à mettre dans l’eau de boisson.

    A part en cas de maladie ou de grave carence, on n’administre pas les vitamines dans le bec (avec les petits oiseaux, c’est d’ailleurs difficile et délicat).

    Les complexes vitaminés des oiseaux contiennent d’autres vitamines que la vitamine C, qui se dégradent moins rapidement dans l’eau de boisson (surtout si elle est minérale), et conservent leur efficacité.
    Il est toutefois recommandé de changer l’eau tous les jours.

    Il n’y a pas de consensus au sujet des vitamines :
    certains éleveurs ne donnent jamais de verdure et uniquement des gouttes dans l’eau (se mettant ainsi à l’abri de maladies, notamment diarrhées),
    d’autres ne supplémentent pas l’eau en vitamines, mais pronent un apport uniquement alimentaire à leurs oiseaux, et d’autres adoptent la position intermédiaire : verdure et vitamines en cure.

    En période de maladie, de reproduction ou de mue, une supplémentation vitaminique en gouttes semble cependant préférable.


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  • Comment sait on qu’un oiseau est malade ?

    Un oiseau qui reste immobile, prostré sur un perchoir, en boule, les plumes en désordre, la tête sous l’aile, est un oiseau qui ne va pas bien.
    Il peut aussi s’agir d’un oiseau en permanence à la mangeoire.

    D’autres signes peuvent orienter vers le problème :
    - Le cloaque souillé par les fientes est un signe de diarrhée (surveiller les fientes de l’oiseau).
    - Une respiration rapide, difficile, encombrées, de la toux, des éternuements, un bec sale, orientent vers un problème respiratoire.
    - Des yeux sales...
    - Des lésions de gale des pattes, du bec...
    - Une perte de plumes anormale (carence, problème hormonal, mycose...)
    - Une blessure (suite à un choc, une chute...), une fracture, une amputation...

    Après que peut t’on faire en attendant la visite chez le veterinaire ?

    Voici ce que m’avait conseillé le véto aviaire au téléphone, en cas d’oiseau malade :
    Tout d’abord, il faut isoler l’oiseau malade (autre cage, autre pièce) dans une "cage infirmerie" (petite cage, dans laquelle l’oiseau accèdera à tout facilement), et la placer sous une lampe, de telle sorte que la cage comporte un coin chaud que l’oiseau puisse regagner s’il le désire (un oiseau malade a besoin de chaleur).
    Donner à l’oiseau ses graines habituelles + des vitamines dans son eau + de la pâtée.
    Ces mesures simples peuvent aider l’oiseau en attendant la visite chez le vétérinaire.


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  • * Ne nettoyez pas la cage de l’oiseau avant l’examen du vétérinaire.

    * Si c’est possible, transportez l’oiseau dans sa cage et couvrez le fond avec du papier ciré pour que le vétérinaire puisse examiner le contenu de la cage.

    * Emportez le dossier médical de votre oiseau, dans lequel sont consignés les traitements antiparasitaires, les résultats de tests de dépistage de maladies comme l’ornithose-psittacose, et les documents indiquant où vous vous êtes procuré l’oiseau.

    * Si c’est possible, prenez rendez-vous pour une journée chaude. Autrement, réchauffez votre véhicule et recouvrez la cage avec une serviette ou une couverture pour protéger l’oiseau des courants d’air.

    * Apportez des échantillons de la nourriture de votre oiseau, y compris de l’eau et des aliments, des ustensiles, des jouets et des suppléments de calcium, pour que le vétérinaire puisse les examiner.

    * Videz le contenant d’eau de votre oiseau avant le transport.

    * Si vous transportez l’oiseau dans une boîte de carton, recouvrez-en l’intérieur avec des essuie-tout, et veillez à ce qu’il y ait suffisamment d’orifices de diamètre approprié et à ce que le couvercle soit bien fermé. Il serait utile que vous apportiez une photo de la cage de votre oiseau, pour que le vétérinaire puisse en voir les dimensions et la disposition, ainsi que les jouets.

    * Dans le cas des grands oiseaux, n’oubliez pas d’apporter les gants que vous employez habituellement pour manipuler votre animal, et avertissez à l’avance le personnel de la clinique si l’oiseau n’a pas l’habitude d’être manipulé.


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