• Les caresses :

    Pour faire plaisir au chien, les caresses derrière les oreilles, à la gorge, sous le cou, au ventre, sur les flancs et les cuisses sont très appréciées.
    Passer la main sur le crâne, le cou et le garrot (partie au-dessus de l'épaule) est un geste de dominance.
    Un chiot qui veut affirmer son autorité en grondant quand on le carresse doit être réprimandé, en le secouant par la peau du cou.
    Le chien doit rester à sa place dans la hiérarchie du groupe familial.
    Porter un chiot :

    Evitez de prendre votre chiot à tous moments et n'importe comment. Un jeune chien doit beaucoup dormir aussi ne le dérangez pas sans cesse. S'il est disposé à jouer, vous pouvez le saisir mais sans l'attraper par les pattes, il est très fragile et vous risqueriez de lui faire mal!
    Pour le porter, passez un bras entre les 2 pattes avant du chiot et, avec l'autre bras, maintenez son corps contre vous. Ainsi il se sent en sécurité; car un chiot déteste sentir le vide au-dessous lui et s'il se débat vous allez le blesser.
    En revanche, on peut prendre un chiot ou de petite taille par la peau du cou sans qu'il en souffre. C'est le mode de transport adopté par les chiennes.

    Lui apprendre la propreté :

    L'éducation du chiot commence dès sa naissance, avec le sevrage : sa mère cesse l'allaitement et lui apprend à garder propre son nid. L'apprentissage de la propreté doit se faire ensuite dans l'environnement humain.
    Sortez-le fréquemment et régulièrement (surtout après les repas) afin d'éviter que votre chiot ne s'oublie n'importe où.
    Normalement, un chiot ne souille pas sa couche, à moins qu'il ne soit malade. La punition n'accélère pas l'apprentissage de la propreté. S'il s'est égaré, rien ne sert de lui mettre le nez dedans, le chiot ne comprend pas ce geste. Pour le réprimander, secouez-le par la peau du cou et grondez-le d'une voix ferme.
    Armez-vous de patience et s'il persiste à souiller votre tapis, vous pouvez essayer d'utiliser des vieux journeaux en les disposant de façon à ce qu'il se rapprochent progressivement de l'extérieur. Veillez à ne pas trop prolonger ce stade de l'apprentissage car votre chiot pourrait s'imaginer qu'il doit faire ses besoins exclusivement sur des journaux!
    Quand il a enfin compris qu'il devait se soulager dehors, il faut ensuite lui apprendre à utiliser les caniveaux et les aires destinées aux chiens. Pour cela, il va falloir lui faire accepter le port de la laisse...

    L'usage de la laisse :

    Tout comme la propreté, la laisse s'apprend le plus rapidement possible, dès le plus jeune âge. Si le chiot tente de dépasser son maître, ce dernier doit faire demi-tour afin qu' il ne prenne pas l'habitude de le tracter plus tard. Ne tirez jamais la laisse et ne le frappez en aucun cas.
    La longueur doit être proportionnelle à la taille du chien : pas trop longue pour qu'il reste près de son maître. C'est la meilleure habitude à opter. La laisse à enrouleur n'est pas idéale pour la promenade : le chien prend la manie de renifler partout et n'en fait qu'à sa tête! De plus, en ville cela peut être gênant (passants...) et même dangeureux s'il décide d'aller sur la route, et à la campagne il n'est pas indispensable d'attacher votre compagnon, qui a aussi besoin de gambader et de se dégourdir les pattes

    Les dégâts :

    Ne laissez pas votre chiot trop longtemps seul à la maison : par sa solitude il risquerait de détériorer votre environnement. Votre abscence, courte ou prolongée, lui pèse énormément.
    Au moment de votre départ, votre chiot peut tenter de vous attendrir par ses gémissements et son regard attristé. Afin d'éviter ce genre de séparation et la suite des évènements (aboiements et quatre cents coups dans la maison), essayez de partir en douce, sans vous préparer devant lui et sans calîns montrant que vous allez le quitter.
    Quelques minutes suffisent à changer son comportement : le chien n'a pas la notion du temps, et que vous partiez un quart d'heure ou trois heures, son attitude sera identique. Quittez-le d'un air détaché comme si de rien n'était, de façon à ce qu'il ne se rende compte de rien.
    Le silence renforçant la solitude, vous pouvez laisser un bruit de fond (musique, télévision...) qui mettra de l'ambiance pendant votre abscence.
    Il est inutile de punir votre chiot pour une faute qu'il a commise durant votre abscence. Il ne fera pas la relation entre la punition et la faute à cause du temps écoulé, mais associera la réprimande au retour du maître. L'air honteux dans son regard, comme pour se faire pardonner, n'est en réalité qu'un acte de soumission. Mieux vaut adopter une attitude positive et rentrer de bonne humeur sans chercher des yeux d'éventuels dégâts : le maître doit être celui par arrivent le bien-être et la sécurité. Soyez tolérants et pensez qu'un chien n'a pas la même notion des valeurs qu'un humain. Le plus raisonnable est d'enlever tous les objets précieux se trouvant à sa portée!

    L'appel :

    L'appel de son nom doit correspondre à un ordre sympathique. Si le chien est de race, un prénom officiel apparaît sur son certificat de naissance. Un nom de chien doit être court (deux syllabes maximum) et "claquer", sonner sec. Evitez un nom trop compliqué ou ridicule, pensez que vous devrez l'appeler en public !

    Invitez votre chiot à venir vers vous dans l'intention d'obéir. Inutile de crier, le chien a une ouïe très fine. Pour attirer son attention, son som doit suffire : rien ne sert de lui faire un discours qu'il ne comprendrait pas.
    Choisissez plutôt les moments où il est disponible pour le familiariser avec ce mot. Evitez de lui donner un ordre lorsqu'il joue ou bien sûr quand il mange. Les capacités d'attention d'un chiot sont limitées, aussi ne l'appelez pas 100 fois par jour.
    Vous pouvez commencer par associer l'appel avec la distribution de nourriture. Le repas est le meilleur moment pour le voir rappliquer!
    Utilisez aussi les moments où il se retrouve tout seul : lorsqu'il est absorbé à jouer et que tout à coup il se rend compte qu'il n'y a plus personne autour de lui, remarquez combien il s'affole et rejoint en vitesse ses compagnons de jeu ou d'autres personnes présentes dans le coin. Les chiots sont très sociables, ils détestent la solitude. C'est pourquoi ils nécessitent d'autant plus d'attention!

    Le chien est réceptif au langage gestuel : il est sensible à toute indication venant du corps, même aux expressions du regard.
    Lorsque vous attirez son attention, accompagnez l'ordre de son nom. Un chien réagit d'avantage à l'intonation qu'aux mots, bien qu'il ait la capacité d'acquérir petit à petit du vocabulaire :

    "assis" : les premières fois, montrez-lui en même temps l'attitude corporelle correspondant au mot. Non pas en vous asseyant en démonstration sur l'arrière-train , mais en lui appuyant sur le bas des reins en maintenant de l'autre main sa tête en hauteur afin qu'il comprenne. Lorsqu'il est assis, félicitez-le en mentionnant son nom et dites "c'est bien!", ou "brave toutou!" par exemple, et carressez-le : la main de son maître est la meilleure communication, et une caresse est la plus douce récompense.

    "couché" : utilisez la même technique. Cette fois, retirez ses pattes-avant en l'asseyant pour obtenir la bonne posture. Profitez des instants où il se couche naturellement pour lui dire l'ordre correspondant afin qu'il assimile rapidement le lien entre le mot "couché" et l'attitude corporelle correspondante. N'oubliez pas de le féliciter et le récompenser, tout en l'appelant par son nom.

    "non" : correspond à une interdiction, il doit être catégorique et prononcé d'une voix ferme.

    Le jeu et l'activité:

    Les chiots adorent mordiller ou mâchouiller tout ce qui leur passe sous la truffe. Il faut lui apprendre à ne pas toucher à tout. Achetez-lui ses propres jouets (os, balles en caoutchouc...) de taille suffisamment grosse afin qu'il ne s'étrangle pas en les avalant.

    Le chien est très actif, et il doit se dépenser quotidiennement pour être heureux. Ses promenades ne doivent pas se limiter à de simples sorties pipi rapides. Vous pouvez marcher des heures avec votre chien, vous remarquerez qu'il a toujours quelques gouttes en réserve à expédier au pied d'un arbre ou sur une touffe d'herbe! Ne vous contentez donc pas du premier filet urinaire pour rentrer! Donnez-lui le temps d'apprécier ses promenades, et sortez-le plusieurs fois dans la journée.
    Un chien a besoin d'une réelle activité physique.
    Il aime également se trouver associé aux sorties de ses maîtres (prendre la voiture, faire les courses,etc.).

    Sources: http://www.alianwebserver.com

     


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  • L’équipe de football de Sedan a une mascotte de poids, Césarine. Une laie qui connaît par cœur toutes les subtilités de la Ligue 1.

    A Sedan, le sanglier est l'emblème de la ville depuis des siècles. Pas étonnant donc qu’un sedanais ait décidé un jour d’adopter une laie. Et il porta son choix sur Césarine, "un cochon de poids".

    Et Césarine, le foot elle aime ça, mais il faut tout de même user de quelques subterfuges pour la faire quitter son enclos.

     

    Sources: 30 millions d'amis



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  • Pourquoi donner des friandises à mon chien ?


    Plaisir, éducation ou santé, les friandises ont de nombreux aspects positifs.

    Le plaisir : Tout d'abord, il est toujours agréable de faire plaisir à son chien. La plupart des propriétaires considèrent que l'alimentation de leur chien n'est pas très variée et veulent lui donner de temps en temps "une petite gâterie", ce qui est très compréhensible. La friandise rapproche le chien de son maître et crée des liens affectifs particuliers.

    L'éducation : Le second intérêt (et le principal du point de vue du vétérinaire) est le rôle éducatif de la friandise. En effet, l'éducation d'un chien passe principalement par la récompense, et la meilleure récompense est une friandise. C'est pourquoi, il est conseillé de toujours donner une friandise en récompense d'un ordre bien effectué, même s'il s'agit d'un ordre simple comme "assis" ou "à ta place". A l'inverse, il ne faut pas récompenser un chien sans raison, car il n'associera plus l'obéissance et le plaisir, ce qui perturbera son équilibre psychique.

    L'hygiène : On trouve enfin un intérêt non négligeable du point de vue santé avec certaines friandises: il s'agit des os, lamelles et bâtonnets à mâcher et à ronger qui, grâce à leur action mécanique sur les dents, limitent la formation du tartre.

    Les friandises "maison" sont à bannir : Très jeune, le chiot se rend compte qu'il ne mange pas la même chose que ses maîtres, il va rapidement et instinctivement venir quémander. Or, il ne faut surtout pas accepter de la part de son chien qu'il réclame lorsque vous êtes à table voire qu'il vous suive partout et réclame une gâterie à tout moment.


    C'est pourquoi il est fortement recommandé de ne pas donner à manger à votre chien pendant que vous préparez le repas ou pendant que vous êtes à table, car cela encourage le chien à mendier et lui confère une position supérieure (il réclame, vous donnez, donc c'est lui le chef).
    Si les friandises données correspondent à des restes de table, le chien fera vite le rapprochement et risque de réclamer dès que vous ouvrez le frigo ou dès que vous êtes dans la cuisine.
    De plus, les friandises "de table" les plus souvent données sont des morceaux de viande (morceaux gras, couenne de jambon) et des sucreries (gâteaux, chocolat, sucre). Ce qui est très nocif pour la santé de votre compagnon, en pensant le gâter on déséquilibre son alimentation et on lui "fait du mal".
    Sachez que le chocolat contient une substance toxique pour les chiens.
    Une ingestion trop importante de chocolat noir peut avoir des conséquences dramatiques.
    Ensuite, à titre de comparaison, un morceau de sucre que vous donnerez à votre Caniche de 10 kilos correspond à 7 morceaux pour un être humain adulte… Imaginez donc ce que ce simple carré de sucre, englouti en quelques secondes, apporte à un petit Yorkshire de 3 kilos !
    Les sucreries ou les restes de tables ne sont jamais un bon apport car ils sont toujours trop sucrés et trop gras et déséquilibrent l'alimentation du chien en lui fournissant un apport énergétique 10 à 20% plus élevé que ses besoins, ce qui aboutira en quelques mois à un embonpoint visible et plus tard à des problèmes de santé.

    Les avantages des friandises "intelligentes" : Il est donc conseillé de donner uniquement des friandises "spéciales chiens", bien différentes de la nourriture humaine et sans danger pour la santé de votre compagnon.
    Ces bouchées tendres ou croquantes, aux parfums variés, ont une grande appétence et leur composition ne déséquilibre pas le régime alimentaire.
    Wanimo.com propose dans sa Boutique un grand choix de friandises "intelligentes" conçues aussi bien pour le plaisir de votre compagnon que pour sa santé :
    --> Friandises-plaisir sous forme de bouchées au saumon Lakse Kronch, de Drops au lait pour les petits chiens, etc...
    --> Friandises-éducation comme les biscuits durs Eukanuba ou Acrobate ou les bouchées
    --> Friandises-santé à ronger avec les os Fluosky, les os à mâcher.

    La composition de ces produits permet une utilisation régulière sans effet néfaste.Les friandises-bouchées sont généralement constituées d'une base céréalière mélangée à de la viande ou tout autre ingrédient appétissant : poisson, yaourt... Peu grasses, elles peuvent être données quotidiennement sans risque d'obésité.

    Certains biscuits pour chiens ont, de plus, été conçus pour apporter des éléments spécifiques à votre chien, et cela d'une manière appétissante: apport en calcium pour les jeunes chiens, en biotine (molécule de l'effort) pour les chiens très actifs, etc…

    Les os à ronger sont fabriqués à partir d'organes naturels: peau de buffle, oreille de porc. Très peu gras, leur appétence naturelle et leur consistance sont un vrai plaisir pour les chiens (en particulier les jeunes chiens) qui retrouvent le plaisir de ronger. De plus, l'action mécanique de l'os contre les dents aide à prévenir l'apparition du tartre.

    Source : Wanimo.com


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  • Pendant la lactation, les besoins alimentaires de la chienne sont encore plus élevés que pendant la gestation car elle doit fabriquer une grande quantité de lait pour ses petits tout en continuant à remplir ses besoins d'entretien. Il faut savoir que selon la taille de la portée, les besoins alimentaires sont multipliés de 2,5 à 3,5 fois pendant la lactation.

    Il faut donc fournir à la chienne une alimentation de bonne qualité et bien équilibrée pour se prémunir d'éventuels problèmes. En effet, une ration mal adaptée et carencée peut entraîner de graves problèmes pour la chienne : crise de tétanie, épuisement, arrêt de la lactation, etc… Les petits ne sont pas à l'abri : ils peuvent effectivement souffrir de carences dès leur plus jeune âge si le lait n'est pas assez riche. Ces carences peuvent avoir de graves conséquences sur la croissance future des chiots et sur leur développement.


    Les aliments adaptés à la lactation de la chienne sont les mêmes que ceux conçus pour la croissance des chiots et pour la gestation. Ils contiennent des quantités élevées en glucides, lipides et protéines de très bonne qualité et d'origines très diverses ce qui permet un apport en acides gras et en acides aminés de natures très variées.
    Ils possèdent également des quantités optimales de vitamines et de minéraux (en particulier calcium et phosphore) qui préviennent l'apparition d'éventuelles carences ayant de graves conséquences sur la mère et les chiots.


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  • La future maman devra être nourrie avec un aliment équilibré, riche et digeste.

    Une alimentation industrielle sous forme de croquettes est la solution idéale et la moins coûteuse; si vous choisissez un aliment de bonne qualité, aucun complément minéral ou vitaminé n'est nécessaire.

    Toutefois, il faut choisir un aliment riche car l'alimentation doit apporter les éléments essentiels è la mère mais aussi à ses chiots. De plus, durant la deuxième moitié de gestation, il faut préparer la montée de lait, qui demande également beaucoup d'énergie et de sels minéraux.
    Des aliments industriels sont spécialement conçus pour couvrir les besoins des chiennes gestantes.


    Il convient toujours de faire une transition alimentaire lorsqu'on modifie l'alimentation, pour éviter de déclencher une diarrhée. Il suffit d'introduire le nouvel aliment dans l'ancien régime, en augmentant progressivement la dose et en diminuant celle de l'ancien aliment sur trois ou quatre jours.

    Source : Wanimo.com


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