• Maturité et instinct sexuel



     

     

     

     
     
     

    MATURITE SEXUELLE

     

    L’instinct de reproduction, comme c’est le cas pour la plupart des félins, domine la vie du chat. Cet instinct se manifeste dés la puberté qui peut intervenir, selon les individus et selon les races, entre 6 et 12 mois. Les plus précoces semblent être les burmese et siamois. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La saison des amours, c'est-à-dire le moment où les femelles sont réceptives, intervient deux à quatre fois par an. Elles durent à chaque fois une dizaine de jours. <o:p></o:p>

     


    L'INSTINCT SEXUEL

     

    Il ne se manifeste pas de la même façon chez la femelle et le mâle. Les femelles deviennent à la saison des amours, particulièrement nerveuses. Des chattes en chaleur poussent un cri monotone qu’elles répètent pendant des heures et des heures. D’autres manifestent leur émoi en mangeant moins, en urinant souvent ou en mangeant plus. Le plus souvent, elle deviennent plus câlines et entament d’interminables concerts de miaulements. La moindre caresse ou frottement les incitent à adopter une position pour le moins significative. Foulant le sol de leurs pattes, elles lèvent leur arrière train et positionne leur queue sur le côté.

    Les mâles aussi, en réponse aux femelles, montrent une certaine agitation. Les chats que l’on garde enfermés pendant cette période sont particulièrement nerveux et restent pendant des heures au pied de la porte tout en miaulant. A la moindre occasion qui se présente, ils n’hésiteront pas à sortir. Ils ne reviennent parfois qu’au bout de quelques jours et ses retours ne sont pas toujours très glorieux. Il arrive parfois que le matou revienne sale, égratigné et en petite forme. C’est en générale le mâle qui fait le déplacement, n’hésitant pas à prendre possession du territoire, à coup de jet d’urine. Si plusieurs mâles se présentent ensemble au rendez-vous, des bagarres interviennent. La femelle ne jette pas forcément son dévolu sur le vainqueur.<o:p></o:p>

    L'ACCOUPLEMENT

     

    Juste avant l’accouplement, le mâle renifle la femelle. Il l’aggripe ensuite à la nuque, l’immobilise et la couvre. Immédiatement après l’accouplement, la femelle se dérobe, devenant même parfois agressive envers le mâle. Vraisemblablement en raison de la douleur qu’elle éprouve quand le mâle se retire. C’est l’accouplement qui déclanche l’ovulation, mettant fin aux chaleurs. Il n’y a pas d’ovulation sans saillie.<o:p></o:p>

     

  • Commentaires

    1
    elverine
    Vendredi 19 Octobre 2007 à 13:40
    super article
    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :